Notre Histoire
Nous sommes deux étudiants, Reyda et Nathan, l’un est en école d’ingénieur et l’autre réalise des études de Marketing.
Nous avons décidé de créer Bambalsa à partir d’une problématique très simple : Comment remplacer les pailles en plastique qui seront interdites en 2021 ?
Notre choix s’est dirigé sur les pailles en bambou, en effet ces pailles peu connues en France sont une alternative idéale car elles sont à la fois écologiques, réutilisables et biodégradables. Son processus de fabrication ne pollue que très peu puisqu’il ne nécessite aucun ajout de produits chimiques.
Notre Histoire
Nous sommes deux étudiants, Reyda et Nathan, l’un est en école d’ingénieur et l’autre réalise des études de Marketing.
Nous avons décidé de créer Bambalsa à partir d’une problématique très simple : Comment remplacer les pailles en plastique qui seront interdites en 2021 ?
Notre choix s’est dirigé sur les pailles en bambou, en effet ces pailles peu connues en France sont une alternative idéale car elles sont à la fois écologiques, réutilisables et biodégradables. Son processus de fabrication ne pollue que très peu puisqu’il ne nécessite aucun ajout de produits chimiques.
Objectif neutralité carbone
Les pailles en Bambous sont généralement importées de pays asiatique puisque le bambou y pousse en abondance dans ces terres. Ainsi l’importation de ces pailles les rendent moins écologiques car le transport pollue beaucoup.
C’est ainsi que Bambalsa intervient en utilisant du Bambou Français car c’est une plante qui n’a pas de mal à pousser en occident. En réduisant le circuit nous réduisons notre empreinte carbone et renforçons l’économie locale dans un contexte où la relocalisation prend toute son importance.
Objectif neutralité carbone
Les pailles en Bambous sont généralement importées de pays asiatique puisque le bambou y pousse en abondance dans ces terres. Ainsi l’importation de ces pailles les rendent moins écologique car le transport pollue beaucoup.
C’est ainsi que Bambalsa intervient en utilisant du Bambou Français car c’est une plante qui n’a pas de mal à poussé en occident. En réduisant le circuit nous réduisons notre empreinte carbone et renforçons l’économie locale dans un contexte où la relocalisation prend toute son importance.